Le partage de parcelles pour la rotation des cultures, un échange de bons procédés

Quand la mutualisation répond aux besoins des hommes et du sol

Pour redonner à la terre ce que lui prend la récolte, ils pratiquent la rotation des cultures : entre deux céréales, ils sèment des légumineuses sur les parcelles.

Le chevrier a besoin de foin et de pâtures ; le paysan boulanger a besoin d’un coup de main pour son travail de la 1ère année pour le blé, et de davantage de blé pour son activité pour laquelle il loue des espaces qui ne sont « pas des terres à blé ».

L’organisation et l’échange de bons procédés sont rapidement trouvés. Ils vont tourner sur les terrains l’un de l’autre, selon les années.

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